Hooseek est un méta-moteur original: vous pouvez le configurer pour reverser les revenus de vos recherches à des associations.
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Loin d’Internet est le repos
Hooseek est un méta-moteur original: vous pouvez le configurer pour reverser les revenus de vos recherches à des associations.
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Après des années à tenter d’être présent en force sur Internet, Microsoft se décide enfin à investir massivement et propose de racheter Yahoo!
La recherche des bons mots clefs est essentielle pour trouver la meilleure rentabilité. Voici la liste des mille mots les plus chers.
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Afin de faire parler d’elle, une agence de recherche de Singapour a lancé un concours permettant de gagner 100 000 dollars. Il suffit de créer un moteur de recherche…
Une étude auprès de 2000 responsables marketing révèle que l’emailing donne de meilleurs résultats que la publicité sur moteurs de recherche.
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Le PageRank de Google est basé sur les liens que font les sites vers le vôtre et plus ce site est lui-même bien classé, mieux c’est. Voici donc la liste des sites sur lesquels il faut être…
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Un moteur de recherche invente une approche nouvelle: la recherche humaine.
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Une fois n’est pas coutume, voici une astuce très pratique pour tous ceux qui suivent l’évolution de leur marché, qui souhaitent optimiser leur positionnement sur les moteurs de recherche, ou encore qui analysent de près les moindres mouvements de leurs concurrents.
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En analysant les resultats affiches par Yahoo, il semblerait que des liens publicitaires (voir affilie?) s’incrustent dans les resultats naturels.
Ainsi, lorsqu’on lance une recherche sur le mot cle « Voiture », il ressort actuellement un resultat pour le site « Ford.fr » dont l’URL, une fois arrive sur la page, est http://www.ford.fr/?campaignid=searchmarketing &advertiserid=TrustedFeed&bannerid=yahoo
Si ce n’est pas un lien publicitaire, qu’est ce que ca peut bien etre ?
Ce meme lien apparait sur d’autres moteurs utilisant les resultats Yahoo, tels que Altavista ou Lycos.
Et vous ? Trouvez-vous pertinent d’inclure des liens pub dans des resultats de recherche, sans distinction par rapport aux resultats naturels ?
Que pourraient penser les annonceurs qui paient au clic en passant par Yahoo Search Marketing ?
Aurelien Morillon
Une fois de plus, il semble que la question soit incongrue, tant il est vrai que la popularité est considérée comme l’un des fondements essentiels de la réussite en ligne. Qu’il s’agisse d’être reconnu (et référencé !) par ses pairs pour mieux séduire les moteurs de recherche – Google en tête – ou encore de s’assurer les bonnes grâces des internautes en se pliant à leurs attentes (caprices ?), il paraît difficile de s’affranchir de cette notion de popularité.
Et pourtant, il en est parfois de la « Net-economy » comme de la politique. Après avoir misé sur la faveur populaire pour atteindre la position qu’on souhaitait, il faut savoir ensuite prendre les décisions nécessaires à l’aboutissement du projet qui nous a porté sur la place. Quitte à devenir quelquefois impopulaire.
Le principe est d’autant plus vérifiable dans le cadre d’une reprise de site internet (qui, de temps en temps, revient quasiment à reprendre une petite entreprise). Les clients, les collaborateurs, les « fournisseurs » sont habitués à un modus operandi qui, même s’il a parfois mené l’activité à sa perte, ne les conforte pas moins dans l’idée rassurante que les choses vont toujours mieux si on n’y touche pas. Or, le plus souvent, les responsables d’un site ne sont pas les seuls éléments qu’il convient de changer pour inverser une tendance catastrophique. Et c’est là que le repreneur endosse le plus souvent le rôle du méchant, car il est amené à changer les habitudes et les méthodes de travail pour rationaliser l’activité. Et la perréniser.
La bonne nouvelle, c’est que s’il s’y prend bien, et si l’objectif visé est atteint rapidement, alors la relative impopularité dont il a « bénéficié » au moment de certains choix stratégiques ne dure pas bien longtemps. Mieux encore, lorsque les résultats démontrent la pertinence de l’action honnie, il n’est pas rare qu’il bascule brusquement du statut de vilain petit canard à celui de chevalier blanc. Et ce sont souvent ceux qui brandissaient les fourches à son passage qui, une fois leur nouveaux intérêts assurés, se mettent à l’encenser et à le considérer publiquement comme un visionnaire, un manager de talent, voire même… comme un génie ! Certains fora regorgent de ces revirements de situation, aussi cycliques que cocasses, au gré des réformes (impopulaires) et des résultats (favorables) qui émaillent la vie d’un site.
Mais il y a aussi un mauvais côté, c’est que si les objectifs sont plus longs à atteindre, ou si le responsable se heurte à une résistance plus forte que celle à laquelle il s’était préparé (collaborateurs qui ne veulent pas qu’on change leurs habitudes, concurrents qui se délectaient déjà de la perspective de voir le site disparaître de la scène, clients vindicatifs qui cherchent à faire « payer » d’une manière ou d’une autre leurs frustrations diverses et qui ne lui laisseront aucune chance…), alors il pourrait être contraint d’abandonner la partie et de quitter l’arène sous les huées du public. Avec en prime la possibilité d’être « grillé » pour un bout de temps dans le secteur.
Une sorte de « Quitte ou double », mais guère différent de la prise de risques habituelle dans les autres secteurs de l’économie, notamment ceux qui se caractérisent à la fois par leur dynamisme, leur volatilité et un potentiel énorme.
Finalement, la seule chose vraiment importante, ce n’est pas de savoir s’il vous faut prendre le risque d’être impopulaire pour réussir, mais plutôt si vous en aurez le courage. Car comme en alpinisme, même s’il existe différentes manières d’atteindre le sommet, la voie la plus escarpée et la plus dangereuse reste aussi la voie la plus gratifiante et la plus noble.