Quand le web est apparu et a commencé à se démocratiser, j’étais un des premiers à dire que le tout virtuel était l’avenir: plus besoin de lettres papier, plus besoin de téléphone, tout devrait pouvoir être fait pas le web et par email.
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Mais c’était sans compter sur le facteur humain. Les relations ne sauront jamais se passer de contact réel.
La technologie aidant, sous la forme de la freebox et des autres solutions de téléphonie gratuite, le contact a repris quelques années plus tard le devant de la scène. Il est donc primordial de respecter ces choix de vos prospects.
Certains trouvent même tentant d’aller encore plus loin dans le concret.
Par exemple, quand j’appelle ma compagnie d’assurance, le système vocal me demande de saisir mon numéro de client et en réponse une charmante voix enregistrée m’indique « ne quittez pas, je recherche votre dossier » et en illustration sonore j’ai droit à un cliquetis sur un clavier.
Est-ce que cela concrétise et crédibilise la société ? Non, c’est ridicule.
Du concret à condition de ne pas remplacer par les relations réels qui sont indispensable pour les humains, pour leur survies et leur sentiments.
L’internet est une grande source d’information, de client. Il faut tout simplement mettre une limite entre ce qui est réel ou non.
C’est totalement ridicule en effet.
Et qui, du reste, peut réellement se méprendre sur ces pratiques… ?