Ne me faites pas réfléchir

Si vous voulez que je consulte votre site, que je m’en souvienne, que j’achète ce que vous proposez et que j’en parle à tous mes amis, ne me faites pas réfléchir.

Un internaute décide en moins de 15 secondes si une page l’intéresse ou non. Si je dois mettre plus de 15 secondes à comprendre ce dont vous parlez, alors je serai déjà ailleurs.

The Thinker, Rodin
Creative Commons License photo credit: jcf

Dites-moi ce que vous attendez de moi. Si vous voulez que j’achète, mettez des boutons « cliquez ici pour acheter ». Si vous voulez que je m’abonne, mettez des liens « Laissez votre adresse email pour vous abonner » ou « ajoutez ce site à votre lecteur RSS ». Si vous voulez que je vous appelle, affichez clairement « appelez-nous au … ».

Soyez clair sur comment je peux vous contacter. Votre page de contact doit s’appeler « Contact ». Précisez vos horaires de réponse. Et mettez un numéro de téléphone.

Je suis sur votre site parce qu’à priori il répond à mes besoins (après tout j’ai trouvé le site par Google ou il m’a été recommandé sur un autre site). Le plus dur est déjà fait: je suis un prospect ciblé. Me vendre vos produits ou services devrait être la partie la plus facile. Pourquoi en faire de trop ?

Articles en relation :

7 réponses sur “Ne me faites pas réfléchir”

  1. Et encore, 15 secondes, c’est long. De nombreux internautes doivent se lasser bien avant cela s’il ne comprennent pas de suite quelle action il doivent effectuer.
    Votre rappel semble tellement évident et pourtant si souvent oublié.

    A lire sur le blog de AxeNet: Le référencement, Google et le jardinage

  2. Bonjour,

    Oui c’est le b.a.-ba. mais c’est très souvent oublié :

    Si vous voulez vendre… n’oubliez pas à vos prospects de demander d’acheter 😉

  3. bonjour

    la plupart des internautes qui surf ce n’ait pas forcement pour acheter ,si ne n’avait pas pris le temps de parcourir le forum ,je n’aurais certainement ,jamais acheter « les 60 maximes du référencement » lol

    }cedric

  4. Il y a, en effet, beaucoup d’impulsivité dans la réaction de l’internaute.
    Le problème est de suffisamment être simple pour le capter et complet pour le retenir et engager une relation durable.
    L’image est souvent un moyen utile pour le premier point. Pour le second, tout est question de dosage et du champs d’intervention.

Les commentaires sont fermés.