Jeu de rôle (ou pas)

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Creative Commons License photo credit: Cane Rosso

Imaginez que demain Google ne vous envoie plus de trafic.

Imaginez que les autres moteurs et annuaires non plus.

Vous n’avez plus de nouveau trafic et ne pouvez compter que sur votre base client actuelle.

Comment allez-vous faire pour survivre ?

Comment allez-vous traiter vos clients actuels pour qu’ils ne vous quittent pas ? Quelles garanties allez-vous apporter ? Quelle qualité de service allez-vous fournir ? Quel niveau de suivi allez-vous mettre en place ?

Quels produits allez-vous créer qui vont vous aider dans cette tâche ? Un système d’abonnement annuel ? Une nouvelle gamme complémentaire ?

Quels moyens de promotion allez-vous mettre en oeuvre ? Une newsletter ? Un blog ? Une page d’offres spéciales ?

Pourquoi ne faites-vous pas tout cela dès aujourd’hui ?

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24 réponses sur “Jeu de rôle (ou pas)”

  1. La bonne réponse, à mon avis, est évidemment la newsletter. Le tout étant de ne pas attendre d’être en difficulté pour en créer une.

    Mais une newsletter en soi ne suffit pas. Il faut, en amont, une stratégie claire de marketing, et en aval un (des) produit(s) répondant clairement à une demande tout aussi claire.

  2. J’aime bien cet article malgré son côté un peu fainéant qui ne fait que poser des questions et ne développe aucune réponse. ^^
    La réponse est bien sûr dans la question finale. Agir comme si le problème risquait de se poser à tout instant est probablement une très bonne manière de faire.

  3. Anticiper c’est bien, mais ça prend aussi du temps. On ne peut pas prévoir une solution, à chaque problème potentiel, surtout dans les secteurs à forte évolution ex: le web !!

  4. Je pense que ce que Maxime essaie de soulever, c’est que si l’on bâtit son business sur un seul mode de prospection, on s’expose à de grands dangers. Au-delà de cela, il y a 2 aspects qui ne sont pas l’un le substitut de l’autre, mais bel et bien totalement complémentaires : 1/ générer du trafic, 2/ établir une relation avec les visiteurs/prospects/clients. La pire des erreurs, et hélas elle est fréquente en marketing sur le net, c’est de tout focaliser sur le 1/ et totalement négliger le 2/.

  5. Bonjour Maxime,

    La réponse se trouve bien évidement dans cette dernière question posée.

    J’ajouterai qu’il faut être totalement suicidaire aujourd’hui de vouloir se contenter d’une seule et unique source de revenu dont le seul objectif sera d’établir un business rentable surtout sur du long terme.
    En cas d’une crevaison au bord d’une route totalement isolée, la roue de secoure vous sera bien utile.
    Car celle-ci vous permettra de vous sortir du bourbier ou vous êtes en attendant de faire la réparation de cette roue qui vous aura lâché.

  6. Perdre d’un coup le trafic de google est synonyme pour beaucoup de site internet professionnel d’un dépot de bilan rapide.
    pour contrer cela il y a plusieurs solutions, devenir le leader incontesté dans son secteur.
    avoir un bon emailing est une solution de secours qui peut sauver le site
    encore faut’il que la société y travaille déja
    et ce n’est pas toutes le cas
    un bon exemple de cela sont les équipementiers automobiles qui sont souvent fournisseur d’une seule société

    lorsque le constructeur ne veut plus travailler avec, c’est fini

    🙂

  7. Cela se remarque avec Mayday la mise a jour de Google, en debut d’anee, j’ai des amis qui ne vivent qu’avec Adsense, ils ont perdu la moitié de leur trafic, résultat ils sont obligé de tout refaire… attention ne pas mettre tout ses œufs dans le même panier sinon c’est le même risque qu’en bourse !

  8. « Gouverner, c’est prévoir »… Cette maxime très connue d’Emile de Girardin ne peut que valoir pour le web, domaine évolutif par excellence.
    Mais il est vrai que l’anticipation est peut-être encore un peu plus complexe que la prévision…
    En toute hypothèse, au-delà du web (google ou pas), heureusement que les clients (satisfaits) génèrent des clients… et c’est là, peut-être, une forme de trafic essentiel et, dans une certaine mesure, pérenne.

  9. C’est un peu comme le dit #8 mettre tous ses oeufs dans le même panier que de ne pas diversifier ses activités. Et je pense que dans le référencement c’est un maître mot! Ne pas s’arrêter à une ou deux méthodes de promouvoir son contenu est la clef.

    Il existe certains sites ou les gens viennent en URL Direct ou en tapant comme mot clef le nom direct du site. Pour moi c’est synonyme de qualité pour le contenu du site. L’image de celui-ci est tellement portée sur tous les fronts, que l’internaute n’a même plus besoin de Google pour aller le consulter! (Un rêve utopique…)

  10. Il faut fermer boutique ! sortir l’argent en liquide et vite changer de pays pour que vos clients ne vous retrouve pas 😀 ! ahah

  11. Plus de trafic… il faut savoir en générer, intervenir sur des blogs spécialiser, se faire reconnaitre comme un expert, faire du gratuit, ou faire attirer des gens par des conseils ou services gratuits, a dépendance de services supplémentaires… il y a de nombreuses possibilités…

  12. Je suis d’accord également (on peut que l’être du reste), mais cela prend beaucoup de temps et, à l’instant T, les garanties de retours sont inconnues.
    D’où la nécessité de se focaliser sur les clients qui, logiquement (a priori), génèrent un trafic plus ou moins immédiat.

  13. Situation radicale ! En effet, on s’aperçoit souvent qu’on s’enferme dans un système uniforme.
    Pourquoi ne pas s’intéresser à mieux fidéliser ses clients?

  14. Encore une grande question et peu d’éléments de réponse de la part de notre gourou préféré ! Serait-ce parce que la question elle-même n’est pas neuve ? J’aimerais beaucoup savoir parmi ceux ici qui exploitent une newsletter quel est leur taux de rebill ? Ne sommes nous pas tous largement dépendants des moteurs que nous le voulions ou non ? Nous n’avons pas la taille et la notoriété de RueduCommerce ou Cdiscount pour avoir un business qui tourne sur une base de clients plus ou moins active, qui se renouvelle sans cesse et qui croule deja sous les newsletters en tout genre !

  15. Oui, sachant que ce qui est aujourd’hui dénommé « trafic » est, en réalité, au cœur de toutes relations sociales depuis, qui sait, l’age de pierre….

    La visibilité peut-être un peu moins, mais c’est là une notion plus subjective.

    Vaut-il mieux être visible – potentiellement – par un grand nombre qui ne regardent pas… ou l’être par un nombre plus restreint susceptible de – vraiment – regarder ?

  16. Je n’attend rien de Google, ma stratégie de vente ne repose pas sur lui donc pour moi ça ne change rien du tout les alternatives sont déjà en place pour mon activité principale.

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